Être à Genève pour le festival de la Bâtie. Croiser une affiche plusieurs fois dans les rues. Un appel. Un signe. Un tire qui donne une adresse : 'Donne moi la main, on va traverser la rue"....Un dessin qui me parle, je reconnais ce dessin. Je découvre avec joie que Zeina Abirached est à Genève. Je fais en sorte de la rencontrer pour discuter de son piano oriental, de Beyrouth, de Paris, des identités, des langues, des cultures qu'elles charrient ! Une discussion remplie d’émotions !