Il a 26 ans. Il vient des Balkans, et ses œuvres parcourent déjà les scènes du monde. Dans Goodbye Lindita, Taverna Miresia ou Mami, Mario Banushi invente un théâtre sans mots, mais plein de voix. Un théâtre du silence et de l’image, où l’intime devient universel, et où la mémoire familiale — avec ses absences, ses rituels, ses blessures — prend corps sous nos yeux.
Dans cet épisode enregistré à Montréal, pendant le Festival TransAmériques, il revient sur son enfance entre la Grèce et l’Albanie, son rapport à l’exil, à la lumière, aux chants, aux gestes — et sur la puissance politique du personnel.
Avec la participation de Martine Dennewald et Jessie Mill, et la voix précieuse, inimitable, de Quentin Tenaud.
📍Prochaine occasion de découvrir son travail : Mami au Festival d’Avignon cet été, avant deux spectacles au Théâtre de l’Odéon la saison prochaine.