Dans le Chant du père, Hatice Ozer a construit une histoire sensible, en respectant le vieil adage de son père : « pour bien raconter les histoires, il faut mélanger 60% de vérité, 30% de mensonge et 10% de pur mystère ». Et elle est mon invitée, dans ce 60ème épisode du Beau Bizarre !